Nouvelles séries de la rentrée 2015

12 Novembre 2015

Nous sommes en Novembre et il y a encore de nouvelles séries à découvrir. Vous me direz, même en janvier il y en aura encore qui seront lancées, et même en mars etc...

Autant dire que pour l'heure le bilan est assez mitigé de mon côté. Peu de nouveautés ont trouvé grâce à mes yeux. Voici un petit débrief de quelques pilotes que j'ai essayés, et des quelques nouveautés qui m'ont tout de même convaincu.

Quantico : nombre d'épisodes testés : 2

Série conspirationniste qui a toutefois un désavantage me concernant, celle de fonctionner sous forme de "flashbacks" à la manière d'un début de "Revenge" ou des saisons de "How to get away..." et ça, j'ai un peu de peine. Si le pilot m'avait donné envie de poursuivre, le second épisode que j'ai vu m'a ennuyé et ne m'a pas poussé à persévérer.

Crazy Ex-Girlfriend : nombre d'épisodes testés : 4

Moins niaise que beaucoup de ses consoeurs de la CW, la série comédie-musicale est non seulement assez caustique, mais mise aussi beaucoup sur la galerie de personnages loufoques dont l'héroïne, névrosée à souhait, fait bien évidemment partie. Les chansons ne sont pas toutes dignes de Broadway et lorgnent vers tous les genres musicaux (r'n'b, folk...), donc ceux qui ne seraient pas adeptes des comédies musicales devraient néanmoins y trouver leur compte, puisqu'il s'agit plutôt d'une série genre "Glee" que de "La mélodie du bonheur".

Code Black : nombre d'épisodes testés : 3

On ne peut pas éviter la comparaison avec Grey's Anatomy. Et à ce jeu-là, prime à l'ancienneté de Grey's qui après 12 saisons continue à nous émouvoir. L'émotion, et l'attachement aux personnages c'est ce qui manque un peu à Code Black. Même si évidemment c'est dur de comparer 3 épisodes et 12 saisons, on a pu apprivoiser l'équipe du Seattle Grace et les médecins de Code Black sont moins attachants. Mais le petit plus, c'est le côté plus réaliste, plus brut, un peu moins édulcoré que Grey's Anatomy. Certains diront que c'est anxiogène, je trouve que ce "stress" et ce fameux code noir ajoute au réalisme.